Tout ce qu’on tait on sait est le second volume de la série de publications du collectif Wages For Wages Against, qui agit pour de meilleures conditions de travail dans les arts visuels et contre toutes formes de discrimination. Cet ouvrage fait état de recherches sur les mécanismes d’invisibilisation des précarités et des savoirs militants. Il enquête sur ce que révèlent nos silences et non-dits. En donnant la parole à plusieurs chercheuses, militantes et collectives, l’objectif de ce volume est de donner à entendre des paroles tues, des histoires oubliées, des luttes invisibles et ainsi de proposer des alternatives par la construction de récits communs.
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We Know What Remains Unsaid is the second volume of a series of publications by Wages For Wages Against collective, acting for better work conditions in the visual arts and against all forms of discrimination. This edition presents research on the mechanisms of invisibilisation of precarious realities and activist knowledges. It investigates what our silences and the unsaid reveal. By giving a voice to several researchers, activists and collectives, this volume records silent words, forgotten stories, invisible struggles and thus makes possible the construction of alternative common narratives.
Avec les contributions de / With contributions by
Johana Blanc, Tiphanie Blanc, Tiziri Kandi, L’Eau à la Butch, GUFO, Noémi Michel et Olga Rozenblum.
En français et anglais
Edité par Tiphanie Blanc & Ramaya TegegneDesign: Roxane Maillet
A5, 366 pages, Dos Carré Collé
ISBN: 978-2-9602717-7-5
Publié par L’Amazone & Privilege
Avec le soutien de Migros Pour-cent culturel, La Mobilière, Centre national des arts plastiques, République et canton de Genève & Pro Helvetia
Tout ce qu'on tait on sait / We Know What Remains Unsaid
Wages For Wages Against (WFWA) est un collectif militant et une campagne pour la rémunération des artistes en Suisse et ailleurs. Il agit pour une économie alternative et plus juste de l’art et questionne les fondements idéologiques de la situation actuelle. WFWA vise à sensibiliser aux conditions du travail précaires, de l'exploitation et des discriminations dans le domaine de l'art par le biais de débats et d'actions publiques et collectives. Plus largement, le projet agit comme un agent de changement, en sensibilisant le public aux questions de société et d'égalité des chances afin de donner accès à la pratique artistique à des personnes qui ne peuvent se permettre de travailler gratuitement.